2009-02-25

Auguste Rodin par Sacha Guitry


Auguste RODIN par Sacha Guitry
by stilitano
In 1890, several papers reported on "a rather paradoxical artistic theory : Rodin claims that there is a statue in each block of marble. It is just a question of divining it and bringing it out by removing all that is excessive" (Le Temps, 21 December 1890, La Nouvelliste, 29 December, 1890). This comment is surprising coming from Rodin who, like most of his contemporaries, did not like carving marble very much. Although he allowed himself to be filmed by Sacha Guitry holding a hammer and chisel in front of the great Ariadne in the process of being sculpted (in Ceux de chez nous), Rodin was first and foremost a modeller, kneading with his hands a soft material, clay, to which he could add or take away at will. Later he would work with plaster, composing new groups based on works modelled long before.If artists no longer carved marble, it was because a new division of labour had been introduced. Once the clay model was finished and cast, the "original plaster" was handed over to the "pointer" who roughed down the block, then to the "practicien" who carved as much as possible. The latter obviously worked under the supervision of the artist but his accuracy was guided by a "pointing machine" invented in the 19th century by Nicolas Gatteaux. Following the base points as a guide, a rotating head operated by steam after 1844, then by electricity, made it possible to come close to the desired shape in successive stages, then to accurately transcribe the modelling, with the sculptor usually adding the final touches.

En 1890, plusieurs journaux se firent l'écho d'une "théorie artistique un peu paradoxale : Rodin prétend en effet que dans chaque bloc de marbre il y a une statue. Il ne s'agit que de la deviner et de la faire sortir en enlevant ce qu'il y a de trop" (
Le Temps, 21 décembre 1890, Le Nouvelliste, 29 décembre 1890). Ce texte est surprenant sur les lèvres de Rodin qui, comme la plupart de ses contemporains, n'aimait guère à travailler le marbre : même s'il se laisse filmer par Sacha Guitry le marteau et le ciseau à la main devant la grande Ariane en cours d'exécution (dans Ceux de chez nous), Rodin est d'abord et surtout un modeleur : il pétrit de ses mains une matière molle, la glaise, à laquelle il peut, à volonté, ajouter ou retrancher. Plus tard il travaillera le plâtre, composant de nouveaux groupes à partir d'éléments modelés bien antérieurement.
Si l'artiste n'assure plus désormais la taille du marbre, c'est qu'une nouvelle répartition des tâches est intervenue : une fois le modèle en terre terminé et moulé, le "plâtre original" est remis au "metteur aux points" qui dégrossit le bloc, puis au "praticien" qui en pousse au maximum l'exécution. Celle-ci se fait, bien entendu, sous le contrôle de l'artiste mais son exactitude est assurée par la
machine à mettre aux points
inventée au début du XIXème siècle par Nicolas Gatteaux : à partir des repères que constituent les "points de basement", une tête rotative actionnée à la vapeur après 1844, puis à l'électricité, permet d'approcher la forme par étapes successives, puis de serrer le modelé, l'artiste se réservant en général la finition de l'oeuvre.

Website : Musée Rodin

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2009-02-17

André Breton a sa place à Paris


La mairie de Paris a donné à la place, à l’angle des rues de Douai et Pierre Fontaine dans le 9ème arrondissement, le nom du grand poète du surréalisme, André Breton. Christophe Girard, adjoint chargé de la culture et Jacques Bravo, maire du 9e arrondissement ont inauguré le lieu en présence de la fille et de la petite-fille du créateur du mouvement surréaliste. Ils ont aussi dévoilé une plaque à sa mémoire au 42 rue Fontaine sur l’immeuble qu’il occupa jusqu’en 1966 et d’où il lança les grands principes de son mouvement. Son appartement atelier qui a conservé jusqu’en 2003 l’ensemble de ses collections, constitue un témoignage rare et inestimable de l’histoire du surréalisme.

Website : André Breton via Artcyclopedia

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2009-02-16

Le CENTQUATRE, lieu de création et de production artistique de la Ville de Paris


Le CENTQUATRE est un lieu de création et de production artistique unique au monde. Ouvert à tous les arts, cet espace de 39 000 m² compose un ensemble architectural inédit où l’art vient à la rencontre des publics. Le projet des deux directeurs, Robert Cantarella et Frédéric Fisbach, s’attache tout particulièrement à faire de la singularité des langages artistiques présents au CENTQUATRE, le lieu d’une expérience ancrée dans le quotidien. Un lieu où la dynamique artistique bouscule les frontières entre les arts et les publics. Ainsi au CENTQUATRE l’art et la culture s’ouvrent aux spectateurs mais aussi aux passants et aux curieux. Cette orientation forte impulse des modes de fabrication, de production et de visibilité de l’art résolument nouveaux. Les espaces d’accueil et de travail du CENTQUATRE ainsi que l’ensemble des programmes, fêtes et évènements seront pensés dans cette dynamique artistique. Cette approche entend multiplier les voies d’accès à l’art et permettre des ouvertures inédites vers la création contemporaine. Une trentaine de projets artistiques seront développés chaque année, pouvant occasionner la présence simultanée sur le site de près de 200 artistes venus du monde entier. Lieu de production, le CENTQUATRE donnera aux artistes les moyens techniques, financiers et humains de créer une œuvre. Les moyens également d’imaginer des modes de production et de coproduction inédits. Durant la durée de leur séjour, les artistes utiliseront les différents espaces mis à leur disposition en fonction de leurs besoins. Ces espaces pourront être adaptés selon les orientations artistiques choisies et les étapes de travail. Chaque artiste est ainsi libre d’en exploiter la plasticité et de leur donner une destination éphémère et réversible. Parallèlement aux ouvertures d’ateliers, trois festivals ponctueront l’année en proposant les travaux finis des artistes présents au CENTQUATRE.

Website : Le 104 CENTQUATRE

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Les trois baudets : une chance pour la chanson francophone !



Les trois baudets : une chance pour la chanson francophone !
by mairiedeparis

Un peu d’histoire

Créé en 1947 par Jacques Canetti, alors directeur artistique chez Polydor, le Théâtre des Trois Baudets est devenu en quelques années une véritable institution : professionnels et publics s’y rendaient pour découvrir les nouveaux talents de la chanson.
La liste des artistes ayant fait leur première scène parisienne aux Trois Baudets parle d’elle-même : Jacques Brel, Georges Brassens, Serge Gainsbourg, Juliette Gréco, Mouloudji, Jacques Higelin ou Raymond Devos, pour ne citer que les plus illustres.
Avec une programmation audacieuse et de qualité, le Théâtre des Trois Baudets a grandement contribué au renouvellement de la chanson française, en soutenant des artistes qui ont profondément et durablement modifié le paysage de la chanson, et dont l’influence se fait encore sentir après 40 ans.
En 1967, après 20 ans de bons et loyaux services, le théâtre est vendu à un promoteur anglais pour devenir un cabaret érotique, le Topless, jusqu’en 1978, puis l’Erotika qui ferme ses portes en 1996. Délabré et ne répondant plus aux normes d’hygiène et de sécurité, le bâtiment est condamné et muré.
Dès 1996, une association, « Toto & co », milite pour la renaissance des Trois Baudets et diffuse une pétition pour la sauvegarde du lieu ; cette initiative reçoit alors le soutien bienveillant de Jacques Canetti, mais aussi, de Jack Lang, Daniel Vaillant et Bertrand Delanoë. Un nouveau départ, une nouvelle chance…

L’idée se précise et devient en 2001, une promesse de Bertrand Delanoë : la réouverture des trois baudets constitue désormais une des priorités de la politique culturelle de la Ville de Paris, avec la volonté affirmée d’offrir aux artistes et aux publics, dans le prolongement de son passé prestigieux, un espace de présentation et de promotion de la chanson francophone dans toute sa diversité.
Malgré de nombreuses contraintes techniques, notamment acoustiques (des logements se trouvent au dessus de la salle), le projet de réouverture poursuit son chemin : le 11 mai 2004, le Conseil de Paris vote le principe de rénovation du lieu. (Délibération 2004 DPA 159)
La maîtrise d’ouvrage des travaux est attribuée à la S.G.I.M (Société de Gestion d’Immeubles Municipaux) et le projet architectural confié à l’Agence Anthony Béchu, qui fut notamment chargé de la reconstruction de l’Olympia en 1997.
Ce projet illustre la volonté de la Ville d’offrir à la chanson un véritable écrin, avec une salle de 250 places sur 2 niveaux, des espaces de travail mais aussi de convivialité, avec un restaurant de 60 couverts, un bar et un foyer.Des missions au service d’une ambition

Les trois baudets ont pour vocation de devenir une institution culturelle reconnue sur le plan régional, national et international, un outil indispensable et complémentaire avec les lieux et les réseaux de création et de diffusion qui développent aujourd’hui leurs activités dans le domaine de la chanson francophone.
Lieu de fabrique, les trois baudets accueilleront aussi bien de jeunes artistes que des artistes plus confirmés pour des projets atypiques.
La convention de gestion déléguée, signée le 27 mars 2007 au terme de la procédure de délégation de service public*, entre la Ville de Paris et la S.A.R.L. RAFU, représentée par Julien Bassouls, fixe trois missions :
- Organiser, produire et diffuser des concerts tournés principalement vers la création émergente et la découverte de nouveaux talents, sur de longues durées et en série. Le délégataire pourra aussi proposer la salle de concerts à la location, dans le strict respect du projet artistique et de sa ligne éditoriale. Le lieu devra être ouvert au public au minimum 300 jours par an.
- Développer des activités d’action culturelle dans le respect du projet artistique. Plusieurs formes d’actions sont possibles. L’action culturelle menée aura pour but de sensibiliser les publics et de les fidéliser, notamment en privilégiant les publics scolaires, mais aussi les artistes amateurs ou en voie de professionnalisation.
- Créer et mettre en place une politique de partenariats avec son environnement professionnel et son secteur d’activité sur l’ensemble du territoire local, national et international.Qui dirige les trois baudets ?
Julien Bassouls est un professionnel reconnu pour son engagement pour la défense d’une scène parisienne dynamique et originale, son expérience du terrain et son envie de diffuser la musique auprès d’un public le plus large. En tant que président fondateur de LiFe liVe, une association parisienne, active et indépendante de production et diffusion de musique actuelle, il a produit les débuts de Louise Attaque, Sanseverino, La Tordue, La Grande Sophie, Jean Jacques Nyssen, Le Maximum Kouette, Spoke Orchestra, Loulou Djine, Mendelson, les Sea Girls, Moriarty... Pour piloter Les trois baudets, il est associé à Denis Gerardy de Libertad Music, producteur belge d’artistes francophones, et à Stefff Gotkovski de La lune rousse, une agence parisienne d’événementiel.

Website : Les trois Baudets à Pigalle

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Entropa


"Entropa", l'installation d'art moderne au Conseil de l'UE
by www-touteleurope-fr

Het Tsjechische voorzitterschap van de Europese Unie hing in Brussel kunstwerk op dat flink wat controverse veroorzaakt. Het werk van de Tsjechische kunstenaar David Cerny stelt België voor als een halflege pralinedoos, Bulgarije als een Turks toilet en Zweden als een Ikea-pakket. Sommigen zijn gechoqueerd, de meesten kunnen er om lachen.
Het omstreden Europese kunstwerk 'Entropa' werd naar aanleiding van het Tsjechische voorzitterschap van de EU in het Justus Lipsiusgebouw in Brussel geïnstalleerd. Het werk beeldt een aantal vooroordelen over de lidstaten uit.
Het acht ton zware kunstwerk stelt Roemenië voor als een Dracula-pretpark, Frankrijk als een land in staking en Nederland als een overstroomd land waar alleen nog minaretten uitsteken boven het water. Duitsland wordt doorkruist door snelwegen, in de vorm van een swastika. En het eurosceptische Verenigd Koninkrijk ontbreekt helemaal in het kunstwerk.
Geen 27 kunstenaars'Entropa' was zogezegd het werk van artiesten uit alle 27 lidstaten, maar dat klopt niet. Achter het werk zit één artiest: David Cerny, een beeldend kunstenaar uit Praag. Hij verzon zelf een reeks artiesten, met valse namen en dito biografieën.
Tsjechië reageert geschokt op die onthulling.
Entropa hangt, als alles goed gaat, nog tot 30 juni in het Justius Lipsiusgebouw, Wetstraat 175, 1000 Brussel

Website : David Cerny

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2009-02-12

La nuit des images au Grand Palais à Paris


Dans la nuit des images
by culture-gouv


ARTNET.fr : Dans la nuit, des images : itw d'Alain FLEISCHER
by ARTNET_france


Pour clore le volet culturel de la présidence française de l'Union européenne, les arts visuels ont été pendant 14 nuits à l’honneur, au Grand Palais à Paris grâce à « Dans la nuit, des images » : un panorama de dix années de création contemporaine, d’innovation artistique et audiovisuelle, en provenance des 27 pays de l’Union euro­péenne mais aussi de contrées plus lointaines.


Website : http://www.culture.gouv.fr/culture/actualites/communiq/albanel/comndimg.pdf

Website : Le Fresnoy

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2009-02-11

Monet aux pixels à Rouan


Monet aux pixels à Rouen
by seine-maritime
Chaque année, dès la fin juin, Rouen transforme le parvis de sa cathédrale en gigantesque théâtre de lumière grâce au spectacle des créateurs lumière Skertzò. Tous les soirs, la façade du formidable monument gothique devient pour l’occasion une immense toile de peintre sur laquelle s’appliquent en mouvement les couleurs inspirées de la célèbre série des cathédrales de Claude Monet. À l’initiative de ce projet, la Ville de Rouen et son service Patrimoine et Tourisme.
En 1892 et 1893, l’artiste impressionniste plante son chevalet face à la cathédrale de Rouen et tente inlassablement, jour après jour, de saisir sur la toile les nuances et les variations de la lumière à différentes heures et selon le temps qu’il fait. Il mène à bien une oeuvre unique dans l’histoire de l’art, en réalisant à partir du même motif une trentaine de toiles toutes différentes. L’ Américain Roy Lichtenstein en fera une version pop art au XXe siècle.
À travers ce spectacle, créé en 2003, les concepteurs de Skertzò ont trouvé le moyen de prolonger cette aventure picturale. À l’aide de projections lumineuses, ils peignent aujourd’hui de couleurs changeantes la façade même du monument. En contrepoint de ces interprétations lumineuses sur l’écran-façade, le spectateur peut retrouver l’oeuvre originale du peintre projetée sur un chevalet grand format, installé sur un angle du parvis.


Rouen is preparing itself for an illuminating summer! Every evening at dusk throughout the summer (from June 04 to September 17), the cathedral square will become a theatre of light. As part of this unique project, initiated by Rouen’s town authority and in particular its Heritage and Tourism Department, the cathedral’s majestic gothic façade will be turned into a massive canvas via an impressive light show which recreates the colours and angles inspired by Claude Monet’s famous series of paintings of the cathedral.Throughout 1892 and 1893, the Impressionist artist set up his easel in front of Rouen cathedral and made tireless attempts, day after day, to capture the nuances and variations of light at different times of the day and in varying weather conditions. His efforts resulted in a body of work which is a unique part of art history, comprising of thirty completely different canvases depicting the same subject. American artist Roy Lichtenstein created a pop art version in the 20th C. Today, the designers from Skertzo have developed the concept further by using light projectors to paint the façade of the cathedral in changing colours. Spectators are able to see a copy of the original paintings projected onto a large easel set on cathedral square, giving them a reference point with which to compare the two masterpieces.The visual production is designed to be looked at from different angles just as in the artist’s original concept, and is accompanied by a soundtrack.New technological advances have enabled the engineers involved in the project to give the audience a completely novel experience, using ingenious techniques which are equal in stature to the gothic building itself.


Website : Rouen tourisme

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2009-02-10

Le Ballon


Le ballon
by ddbparis

LE BALLON : TiJi / Lagardère Active
RESPONSABLES ANNONCEUR Emmanuelle Guilbard- Michel Mimran - Agnès Busidan RESPONSABLES AGENCE Thomas Granger - Romain Lorthiois
DIRECTION DE LA CREATION Alexandre Hervé - Sylvain Thirache
CONCEPTION REDACTION Matthieu Elkaïm
DIRECTION ARTISTIQUE Pierrette Diaz
REALISATEUR Yoann Lemoine
ACHAT D'ART Sophie Megrous - Florence Pottiée-Sperry
PRODUCTION Wanda
DEVELOPPEMENT 3D Def 2 shoot

2009-02-07

L'Âme Seule



« Un personnage en proie à la solitude va découvrir ce qui manque à sa vie »
L’Âme Seule est le titre du premier film co-réalisé par Cédric BERTHIER, Jean-Sébastien LEROUX et Maximilien ROYO.
C’est un court-métrage de 4min20 réalisé en stop motion avec des personnages en plastiline.
Tout commença en janvier 2005, avec l'idée de réaliser un petit test d’animation de 20 secondes.
En développant le scénario, puis le storyboard, l’histoire pris de l’ampleur et demanda plus de temps pour la mettre en scène.
En septembre 2006 nous avons finalement réservé le studio de l’école (EESA) pour tourner le film. Afin de finir le film avant la rentrée scolaire, nous avons du respecter un planning des plus draconien, en nous divisant en équipe de jour et de nuit, tournant ainsi 24h sur 24h …
La post production s’étala ensuite jusqu’à janvier 2006 en travaillant le soir et le weekend, en plus des cours.

Website : L'Âme Seule

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2009-02-04

Petits Pois / Carottes


Petits Pois / Carottes
by PopcornTeam

Un film de Cédric Berthier, Jean-Sébastien Leroux et Maximilien Royo.
Trois amis d'horizons différents réunient par une passion commune, réaliser des films, transmettre des émotions. et ce, quelque soit la technique utilisée....

Un court métrage vraiment magnifique !!!

Website : Making of Petits Pois/ Carottes, le film !

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