«Tonen waar de taal tekortschoot. Kijken naar wat niet meer keek. Staren naar het hologige, naar al wat weg is of kwijnt. Stephan Vanfleteren is de fotograaf van het verleden, nee, van het verdwijnen. Hij toont niet zozeer de geschiedenis, maar het verglijden van de tijd. Hij is de fotograaf van het onherroepelijke. Zijn fotografie is een herroepen. Vergeefs, maar troostrijk, wanhopig, maar warm.»
Extract uit «Stefan Vanfleteren, Belgicum», David Van Reybrouck, Lannoo editie
Montrer ce qui est indicible. Regarder ce qui ne regarde plus. Fixer ce qui est cave, évidé, ce qui n’est plus ou ce qui s’étiole. Stephan Vanfleteren est le photographe du passé, non, de la disparition. Il ne montre pas tant l’histoire que la fuite des jours. Photographe de l’irrévocable, sa photographie est une ré-évocation. Vaine, mais réconfortante. Désespérée, mais chaleureuse.»
Extrait de «Stefan Vanfleteren, Belgicum», David Van Reybrouck, éditions Lannoo
Cette grande rétrospective de l'œuvre d'une des figures majeures du XXème siècle, Vassily Kandinsky, est proposée conjointement par le Centre Pompidou, la Städtische Galerie in Lenbachhaus de Munich et le Solomon R. Guggenheim Museum de New York, qui détiennent les plus importants fonds d'œuvres de l'artiste. Elle rassemble une centaine de peintures abouties de Kandinsky, particulièrement les Impressions et les Improvisations. Il s'agit de revisiter la perception d'un peintre né à Moscou sujet du Tsar en 1866, mort citoyen français à Neuilly-sur Seine en 1944. Entre-temps, il aura vécu deux temps forts de la création au XXème siècle : le Cavalier bleu à Munich avant la Première Guerre mondiale et le Bauhaus à Weimar et à Dessau dans l'entre-deux-guerres. L'achèvement du catalogue raisonné de son oeuvre, les récentes découvertes en Russie permettent de restituer l'unité d'une œuvre picturale qui dépasse de beaucoup le concept posthume, trop étriqué, d'« inventeur de l'abstraction ». La présentation parisienne rend également compte des enrichissements constants du fonds Kandinsky – aquarelles et manuscrits exceptionnels de la période « russe » 1914-1917, portfolio du Bauhaus pour son 60ème anniversaire en 1926... – autant d'éléments décisifs réintégrés et offerts au Centre Pompidou par des particuliers et par la Société Kandinsky présidée jusqu'à sa disparition par Mme Georges Pompidou, et aujourd'hui par M. Edouard Balladur.
Du 7 juillet au 29 novembre 2009, la Fondation Cartier pour l’art contemporain présente Né dans la rue – Graffiti. Se déployant dans les espaces d’exposition, sur la façade et dans le jardin de la Fondation Cartier, l’exposition met en lumière l’extraordinaire vitalité d’un mouvement artistique qui a pris son essor dans les rues de New York au début des années 1970 et qui est rapidement devenu un phénomène mondial. Solidement ancré dans le paysage culturel, le graffiti traverse aujourd’hui les domaines des arts plastiques, du design et de la publicité. Pourtant, en dépit de son omniprésence, cette forme d’expression essentiellement illégale, dont les origines et l’histoire demeurent peu connues du grand public, continue d’évoluer en périphérie du monde artistique contemporain. Cette exposition s’efforce de tracer les contours d’un territoire vaste et complexe, qui englobe aujourd’hui quantité de techniques, d’idées et de courants différents. Offrant une lecture des origines du mouvement ainsi qu’un panorama de la pluralité des écritures contemporaines, l’exposition Né dans la rue – Graffiti donne au visiteur l’occasion de découvrir une forme d’art omniprésente et en perpétuelle évolution, et de renouveler ainsi le regard que chacun porte sur la ville.
L'Angelus est –avec la Joconde – le tableau le plus célèbre du monde. Reproductions, chromos, art populaire, reprise par les caricaturistes et par les publicitaires, c'est une icône de valeur universelle. Son auteur, Jean-François Millet a été comme piégé par le succès de cette œuvre à quoi on tend à le résumer. Il reste paradoxalement mal connu et mal aimé des Français, alors même qu'il est sans aucun doute le peintre français le plus connu à l'étranger.
Beaufort 03 is een organisatie van vzw Ku(n)st in samenwerking met het PMMK, Provinciaal Museum voor Moderne Kunst te Oostende.De opdracht van vzw Ku(n)st bestaat uit het bevorderen en organiseren van culturele activiteiten aan de kust. Haar eerste grote opdracht was Beaufort 01 (= 2003 Beaufort), de eerste editie van de triënnale voor hedendaagse kunst aan zee, gevolgd door de tweede editie in 2006.De geschiedenis van vzw Ku(n)st gaat terug tot 1996. Naar aanleiding van de tentoonstelling van Ensor tot Delvaux in 1996-1997, die plaats vond in het PMMK en 350.000 bezoekers trok, werd met de toenmalige partners een cultuurfonds opgericht. Dit cultuurfonds bestond toen uit: de Provincie West-Vlaanderen, Toerisme Vlaanderen, Westtoerisme (nu Westtoer), Stad Oostende de toenmalige Kredietbank (nu KBC Bank & Verzekering). Het cultuurfonds bleef na 1997 bestaan en financierde enkele kunsttentoonstellingen in het PMMK en het Museum voor Schone Kunsten te Oostende. Toen in 2001 het idee groeide een groots kunstproject aan de kust op te zetten, bleek het wenselijk het cultuurfonds om te vormen tot een vzw. In december 2001 werd het cultuurfonds van Ensor tot Delvaux opgeheven en vzw Ku(n)st opgericht.Voorzitter is Gunter Pertry, gedeputeerde van cultuur, Provincie West-Vlaanderen. Vzw Ku(n)st bestaat uit twee partners nl. de Provincie West-Vlaanderen en Stad Oostende. De dagdagelijkse werking van vzw Ku(n)st wordt gedragen door een projectsecretariaat, gehuisvest in het Oostendse PMMK. In 2003 vond de eerste editie plaats van de triënnale voor hedendaagse kunst aan zee, Beaufort 01 (2003 Beaufort) gevolgd door Beaufort 02 (2006 Beaufort) in 2006; Beaufort 03 ligt opnieuw geheel in handen van vzw Ku(n)st.
Beaufort Inside Plaats Kunstmuseum aan zee. Collecties Provincie West-Vlaanderen en Stad Oostende (ex-PMMK) Romestraat 11 – 8400 Oostende
Duur en openingstijden 28.03.2009 – 4.10.2009 Dinsdag – Zondag: 10u – 18u Beaufort Outside Uiteraard kan u Beaufort Outside ten alle tijde bezoeken en uw bezoek naar eigen smaak invullen, maar we bieden u graag enkele formules aan, op maat gemaakt...
Periode 28.03.2009 – 4.10.2009
Installaties en beeldhouwwerken in open lucht Elke kustgemeente heeft een speciaal Beaufort-dagarrangement uitgewerkt. U kan de brochure hier downloaden.
Après le spectacle " La Cathédrale, de Monet aux Pixels", présenté pendant cinq ans sur la façade cathédrale Notre-Dame, la société Skertzo revient. Dans ses valises dès le 26 juin, une nouvelle garde robe pour habiller la cathédrale mais aussi une autre réalisation projetée cette fois sur le Musées des Beaux-Arts. Ces deux spectacles serviront de prélude au Festival Normandie Impressionnistes organisé en 2010. Deux créations largement inspirées de ce mouvement artistique à admirer jusqu'au 19 septembre, au rythme de quatre projections par soirée Le public pourra ainsi voir le square verdrel se refléter sur la façade du musée ou admirer la vingtaine de tableaux et de transitions admirables faisant disparaître la façade du monument ou l'enjolivant. Sur la cathédrale, la société Skertzo ajustera 15 nouvelles robes de lumière. Sur le relief ciselé du monument, des jeux de matières, de lumière et de contrastes toujours aussi éblouissants. A voir au moins une fois pendant l'été.
Du 3 juillet au 27 septembre la Galerie des Hospices accueillera une exposition consacrée à la " Sculpture au féminin autour de Camille Claudel ", avec des oeuvres de l'artiste et de neuf sculpteurs féminins. Douze sculptures de Camille Claudel, dont l'Abandon, la petite châtelaine " natte droite ", la Valse, côtoieront les œuvres de Louise Bourgeois, Isa Barbier, Marinette Cueco, Christine O'Loughlin, Françoise Vergier, Françoise Pétrovitch, Germaine Richier, Marta Pan et Niki de Saint Phalle.
Un trésor. C’est un précieux trésor que le Château du Clos Lucé, à Amboise, expose du 25 juin 2009 au 31 janvier 2010 à la gloire de son plus illustre résident, Léonard de Vinci, qui y vécut les trois dernières années de sa vie. L’exposition met en scène le résultat des études, travaux et recherches portant sur la période milanaise entre 1507-1513 et française 1516-1519. Le lien exceptionnel de Léonard avec la France, porté par trois rois, Charles VIII, Louis XII qui le nomma « ingénieur et architecte du roi » et François Ier est l’un des faits fondateurs de la Renaissance qui prend corps en Val de Loire. Cinq siècles plus tard, les derniers dessins du maître retrouvent le lieu où ils furent esquissés, entre 1516 et 1519. Pour la première fois les originaux de l’« Etude de fleurs », l’« Etude de cheval et deux figures » et les célèbres « Jeunes filles dansant » sont exposées. Exceptionnellement prêtés par les Galeries de l’Académie de Venise, ces originaux constituent l’une des pièces maîtresses decette série des derniers dessins, riche en outre de « The Pointing Lady » et de la fameuse série du« Déluge », d’où a été tiré un film d’animation, avec la voix d’Angelica Huston. Conçue par le Château du Clos Lucé, avec la collaboration de Laure Fagnart, Université de Liège, FNRS l’exposition est placée sous la direction du Professeur Carlo Pedretti, éminent spécialiste mondial de Léonard de Vinci. L’évènement a reçu le concours de nombreuxmusées, institutions de renom et collections privées. A la centaine de fac-similés exposés dans la halle muséographique du Clos Lucé, s’ajouteront ainsi trente et une oeuvres de collection, telle l’exceptionnelle tapisserie de haute lisse du XVIIIe siècle représentant le Château du Chambord. Prêt du Mobilier national, elle fut tissée en laine et en soie à la Manufacture des Gobelins. Le musée Jacquemart-André, avec l’autorisation de l’Institut de France présente entre autres sa superbe sculpture du « Cheval bucéphale», attribuée à Léonard de Vinci ou à l’un de ses disciples. Le musée Ingres s’est de même impliqué à travers le prêt d’une remarquable réplique du "Saint-Jean-Baptiste" que Vinci apporta avec lui en France
Salles des Arts, Sporting d’Hiver 9 juillet au 30 août
Villa Sauber 9 juillet au 27 septembre
Entre 2009 et 2010, toutes les institutions culturelles de la Principauté célébreront le Centenaire des Ballets Russes avec des événements conçus par le Nouveau Musée National de Monaco mais également les Ballets de Monte-Carlo, L’Orchestre Philharmonique, Le Printemps des Arts...
L’exposition du Nouveau Musée National de Monaco « Étonne-moi ! » Serge Diaghilev et les Ballets Russes ouvre le bal. Cette manifestation, riche de deux cent soixante œuvres liées aux Saisons Russes produites entre 1909 et 1929, est centrée sur la personnalité de Diaghilev.
Coproduite par le Nouveau Musée National de Monaco avec le soutien du Gouvernement Princier et la Fondation Culturelle Ekaterina de Moscou, l’exposition « Étonne-Moi !» Serge Diaghilev et Les Ballets Russes sera inaugurée en Principauté le 8 juillet 2009 à la Villa Sauber et dans la Salle des Arts du Sporting d’Hiver. L’exposition présentée au public cet été à Monaco voyagera ensuite à la State Tretiakov Gallery de Moscou du 27 octobre 2009 au 25 janvier 2010.
82 photos de Picasso, prises par Lucien Clergue, permettent d’entrer dans l’intimité de l’artiste et de ses ateliers : 28 sont exposées à l’Atelier Cézanne et 54 à la Cité du Livre.
Grâce à l’amitié qui liait le photographe et le peintre, le visiteur entre dans l’univers de Picasso, rempli de matériels de récupération, d’objets de toutes sortes : un vélo qui donne naissance à une tête de taureau, les jouets d’enfants qui servent à la création de la Guenon en bronze doré… Les enfants jouent assis sur le sol de l’atelier. Jacqueline coud. Picasso vaque à ses occupations. Des instants rares offerts grâce à l’œil du photographe.
Chiara Samugheo, personnalité de renommée internationale, première femme à devenir photographe en Italie, s'est engagée d'abord dans le photo-journalisme.
Ses premiers reportages dénoncent les aspects négatifs et inquiétants de l'Italie: les baraques de la banlieue napolitaine (« Le baraccate di Napoli ». « Gli scugnizzi napoletani »), le milieu carcéral (« La regina delle zingare in carcere »), ou encore les phénomènes troublants des possédés en Apulie.
Vers la fin des années cinquante, elle abandonne le reportage pour se dédier au monde des divas et immortalise les artistes et les stars du cinéma. Ses photos sont une véritable mémoire vivante d'une époque, et elle signe les couvertures des plus prestigieux magazines du monde. Le boom économique déclencha le succès de ces nouveaux périodiques, riches en photos couleurs des Diva, d'histoires mondaines, des femmes-objet.
A son actif, plus de 165.000 clichés de stars : ses portraits valorisent la beauté féminine, parfois au travers d'un détail, d'un rayon de lumière ou d'un décor exceptionnellement soigné. De cette énorme collection de portraits, elle a publié plusieurs livres: "Stelle di carta", "AI cinema con le stelle", "Il reale e l'effimero", "Cento dive, cento anni di cinema".
Mais elle n'a pas oublié ses vieux idéaux, en ouvrant en même temps son champ d'intérêt vers d'autres horizons : ses livres plus récents sont dédiés surtout à la Sardaigne, mais aussi à Lucca (Italie), à l'architecture du Palladio et aux Jeux Olympiques, de même à Rio de Janiero et Inebrodi. (Sicile) Elles ont été publiées dans les livres: "Costumi dî Sardegna" (1981), "Sardegna nel Sinis" (1983), "La stoffa azzurra" (1984), "Lucca e la Lucchesia" (1986), "Vanità sarda" (1986), "Vicenza e Palladio" (1987), "Sardegna, quasi un continente" (1989), "Bacco in Sardegna" (1990), "Natura magica della Sardegna" (1992), "Le corti del verde" (1993), "Carnaval de Rio" (1980).
Chiara Samugheo a participé avec ses expositions à plusieurs événements artistiques en Italie 'et à l'étranger : Galleria comunale di Cagleri, Pinacoteca di Bari, Guggenheim-Museum à New York, Cinecittà, Cankarijef de Lubiana, Biennale Internationale de Venise, CIFE de New York, Festival d'Avignon, Festival de Cannes, Festival international de T.V. Montecarlo , Palais d'Europe à Menton, etc.
Son remarquable travail lui a valu 41 prix de photographie: «Oscar dei due mondi » de Spoleto, « Premio Minerva », « La Venere d'argento », « Premio della Ferrania », « Premio fotocine club di Mantova », « Premio stampa di Sanremo », « Premio Intemazionale della culture di Piazza Navona », « Premio concorso giornalistico internazionale », « Premio Intemazionale della danza a Bento, Brasil » etc.